La Mini maison tipi et la réglementation

Durant mes discussion de la semaine, avec les médias, les gens que j’ai eu l’occasion de rencontrer, j’ai tenté d’élever la réflexion au-delà du « conflit » moi avec la ville… et d’en faire ce qu’elle doit être : une réflexion que nous avons à faire comme société sur les enjeux multiples de la planète… des enjeux écologiques assurément, mais aussi des enjeux sociaux, politiques, économiques… Et tout ça, dans un contexte très particulier que tout le monde soulève : un cadre SUR-RÉGLEMENTÉ…

Photo: La Tribune - René Marquis
Photo: La Tribune – René Marquis

Des règlements, c’est nécessaires pour une cohabitation harmonieuse entre voisin, le respect des autres, la sécurité, et le respect de l’environnement… mais il serait grand temps de revoir si ce sont bien ces considérations qu’ils servent! …Adapter les règlements aux réalités actuelles criantes, et abandonner les règlements désuets!

Pas plus tard qu’hier, un homme est venu me voir, il a une terre agricole de 137 acres en Estrie, et il n’a pas le droit d’installer : une serre!!! Oui! Une simple serre, sur 137 acres zoné « vert »! Je ne sais pas il est où le « vert »!

Des histoires comme ça, j’en reçois plusieurs par jour! Mon histoire n’est qu’une histoire dans la multitude… Une histoire qui parle de défrichage, de changements, d’adaptation, de retour du BON SENS… Ça parle de mettre de l’intelligence dans l’urbanisme, au service des gens.

Est-ce qu’on est du pour du changement? OUI!

Parlant de changements, Luc Larochelle, un journaliste de La Tribune à la plume très habile finissait son article sur le sujet de ma Mini maison tipi par cette phrase qui me porte beaucoup en ce moment : « Le changement s’annonce toujours à l’avance, il arrive toujours sur le tard. Mais il arrive, irrémédiablement ».

Pour ceux et celles qui auraient manqué cet article écrit d’une main de journaliste-poète à la plume (sans jeu de mots!) magnifique et raffinée, revoici le lien